Festival - Blues / Jazz / Country
Ikui Doki + ¿ Que vola ? + Ill Considered - Festival Jazzèbre
Le 11/10/2018 de 18:30 à 23:30
Description
IKUI DOKI (18h30)
Sophie Bernado : Basson
Hugues Mayot : Saxophone , Clarinette
Rafa ëlle Rinaudo : Harpe
Ikui Doki, formation à l’instrumentation atypique est la réunion de «Dragon», duo cross-over féminin et du saxophoniste et clarinettiste Hugues Mayot. Passionnés par la création, l’articulation entre écriture et improvisation, les trois musiciens créent un répertoire de compositions collectives autour de la musique Française du début du XXe siècle. Leur musique se métisse de compositions à l’esthétique free, jazz, contemporaine aux oeuvres composées par Debussy, Ravel, Satie, Fauré. Les musiques du début du XXe siècle ont été un moteur pour le développement du basson, de la harpe et du saxophone. Ce sont pour ces instruments que les compositeurs se passionnent, et innovent le plus. Cela a permis de moderniser la lutherie, la technique instrumentale et à eu une forte incidence sur la musique. (Danses sacrées et profane : pour la harpe, Scaramouche D.Milhaud pour le saxophone 2 concertos pour piano et
orchestre de Ravel pour le basson). Par conséquent, la richesse du matériel de cette époque, offre à Ikui Doki un terrain d’experimentation illimité pour créer un répertoire innovant emprunt d’une esthétique et culture à la fois jazz et contemporaine. La démarche d’ikui doki est aussi un vecteur de transmission culturelle axé autour d’une forte identité musicale française entre tradition et création. « Ikui Doki une recherche de paysages extatiques dans les trames harmoniques raffinées dans lesquels tout devient son».
Ill Considered
Leon Brichard : Basse
Idris Rahman : Saxophone
Yahael Camera -Onono : Percussions
Emre Ramazanoglu : Batterie
C’est le nouveau projet qui agite le Londres underground. Il réunit quatre nerds de la musique aux CV longs comme le bras : Leon Brichard (basse), Idris Rahman (saxophone), Yahael Camera-Onono (percussions) et Emre Ramazanoglu (batterie), à ne pas confondre avec son homonyme du Sarreguemines Football Club. Séparément, ils ont accompagné ou produit Melt Yourself Down, Petite Noir ou Anoushka Shankar. Ensemble, ils construisent un son typiquement londonien, c’est-à-dire énergique, largement métissé et sans barrières, à la croisée de jazz psyché et de la drum&bass. Leur mode opératoire ? Se lancer de manière totalement irréfléchie, d’où le « ill Considered » de leur patronyme.
¿ Que Vola ?
Adonis PANTER CALDERON : percussions
Barbaro CRESPO RICHARD : percussions
Ramon TAMAYO MARTINEZ : percussions
Fidel FOURNEYRON : trombone
Aymeric AVICE : trompette
Hugues MAYOT : saxophone ténor
Benjamin DOUSTEYSSIER : saxophone alto , baryton
Bruno RUDER : fender rhodes
Thibaud SOULAS : contrebasse
Elie DURIS : batterie
Avec un tel prénom, il était écrit que Fidel Fourneyron réaliserait un jour un projet autour de Cuba. D’autant qu’il a plusieurs fois visité La Havane, où il s’est épris de la rumba, faite de chants et de percussions propices à l’improvisation. Avec la question « ¿ Que Vola ? », il apostrophe six amis expérimentateurs de la scène hexagonale et trois piliers du jeune orchestre cubain Osain del Monte, brillant rénovateur de la tradition havanaise. « Quoi de neuf, les gars ?». Ensemble, ils vont plonger les chants traditionnels yorubas et les rythmes de la rumba dans la saveur de l’inédit.
Lire la suiteSophie Bernado : Basson
Hugues Mayot : Saxophone , Clarinette
Rafa ëlle Rinaudo : Harpe
Ikui Doki, formation à l’instrumentation atypique est la réunion de «Dragon», duo cross-over féminin et du saxophoniste et clarinettiste Hugues Mayot. Passionnés par la création, l’articulation entre écriture et improvisation, les trois musiciens créent un répertoire de compositions collectives autour de la musique Française du début du XXe siècle. Leur musique se métisse de compositions à l’esthétique free, jazz, contemporaine aux oeuvres composées par Debussy, Ravel, Satie, Fauré. Les musiques du début du XXe siècle ont été un moteur pour le développement du basson, de la harpe et du saxophone. Ce sont pour ces instruments que les compositeurs se passionnent, et innovent le plus. Cela a permis de moderniser la lutherie, la technique instrumentale et à eu une forte incidence sur la musique. (Danses sacrées et profane : pour la harpe, Scaramouche D.Milhaud pour le saxophone 2 concertos pour piano et
orchestre de Ravel pour le basson). Par conséquent, la richesse du matériel de cette époque, offre à Ikui Doki un terrain d’experimentation illimité pour créer un répertoire innovant emprunt d’une esthétique et culture à la fois jazz et contemporaine. La démarche d’ikui doki est aussi un vecteur de transmission culturelle axé autour d’une forte identité musicale française entre tradition et création. « Ikui Doki une recherche de paysages extatiques dans les trames harmoniques raffinées dans lesquels tout devient son».
Ill Considered
Leon Brichard : Basse
Idris Rahman : Saxophone
Yahael Camera -Onono : Percussions
Emre Ramazanoglu : Batterie
C’est le nouveau projet qui agite le Londres underground. Il réunit quatre nerds de la musique aux CV longs comme le bras : Leon Brichard (basse), Idris Rahman (saxophone), Yahael Camera-Onono (percussions) et Emre Ramazanoglu (batterie), à ne pas confondre avec son homonyme du Sarreguemines Football Club. Séparément, ils ont accompagné ou produit Melt Yourself Down, Petite Noir ou Anoushka Shankar. Ensemble, ils construisent un son typiquement londonien, c’est-à-dire énergique, largement métissé et sans barrières, à la croisée de jazz psyché et de la drum&bass. Leur mode opératoire ? Se lancer de manière totalement irréfléchie, d’où le « ill Considered » de leur patronyme.
¿ Que Vola ?
Adonis PANTER CALDERON : percussions
Barbaro CRESPO RICHARD : percussions
Ramon TAMAYO MARTINEZ : percussions
Fidel FOURNEYRON : trombone
Aymeric AVICE : trompette
Hugues MAYOT : saxophone ténor
Benjamin DOUSTEYSSIER : saxophone alto , baryton
Bruno RUDER : fender rhodes
Thibaud SOULAS : contrebasse
Elie DURIS : batterie
Avec un tel prénom, il était écrit que Fidel Fourneyron réaliserait un jour un projet autour de Cuba. D’autant qu’il a plusieurs fois visité La Havane, où il s’est épris de la rumba, faite de chants et de percussions propices à l’improvisation. Avec la question « ¿ Que Vola ? », il apostrophe six amis expérimentateurs de la scène hexagonale et trois piliers du jeune orchestre cubain Osain del Monte, brillant rénovateur de la tradition havanaise. « Quoi de neuf, les gars ?». Ensemble, ils vont plonger les chants traditionnels yorubas et les rythmes de la rumba dans la saveur de l’inédit.