Peter Harper - The Heart Tour & Gatica

Peter Harper frère cadet de Ben Harper est un musicien qui secoue la definition d’artiste dans tous les sens ! 
Il organise ses concerts pour VOUS écouter !

" Je sais pas pour vous mais j'ai le sentiment de vivre dans un monde qui devient de plus en plus  incontrôlable. Nous avons tous beaucoup à dire, nous ressentons tous les choses très profondément, mais lorsque l’on essaye d'en parler, j’ai l’impression que personne n'écoute. Moi, j’aimerai que nous nous écoutions le temps d’un concert."

Le Peter Harper Heart Tour, c’est la liberté de vous joindre à nous et de chanter ensemble. Lorsque nous chantons à l’unissons avec notre cœur, nos voix ne font plus qu’une. 

Le chanteur de Folk américain / pop Peter Harper rit quand on lui demande s'il parle français :
- "oui", dit-il "mais j'ai littéralement appris un mot à la fois de mes différents fans lors de mes concerts, donc au final je ne suis pas sûr que quelqu'un puisse réellement me comprendre !" 

Ce sera la 8e tournée de Peter à travers la France, le pays qu'il appelle sa deuxième maison loin de chez lui.




Dans le vaste labyrinthe de nos destinées entrelacées, émerge Gatica, incarnation vivante du Chili. Elle emprunte son nom maternel pour transmettre son art, relé- guant son prénom, Alejandra. En elle résonne la violence de Gaïa, ces éruptions volcaniques tragiques ayant marqué son histoire, digne des récits de Francisco Coloane.
Il y a quatre ans, alors que le Chili se soulevait dans les rues contre l’injustice so- ciale, Gatica fut assaillie par la maladie suite à un travail intense et des émotions débordantes. De cette épreuve naît l’inspiration de ce premier album solo.
Ce ne fut pas une tragédie, mais une renaissance, une résilience. Confrontée à la crainte de ne plus avancer, voire de ne plus danser, elle se lève aujourd’hui, ancrée dans la réalité mais la tête dans les cieux, offrant sa réflexion unique et vibrante sur la vie. Bien qu’elle ait exploré le théâtre et le cinéma, Gatica n’est pas une co- médienne chanteuse, elle est une immense musicienne. Sur scène, elle dissipe les douleurs de sa voix tendre et puissante, parfois moqueuse. Son premier EP, en 2017, explorait la lumière perçant les tunnels, la renaissance après les désillusions amoureuses. Mais cette tonalité mélancolique appartient au passé.
De ce dialogue entre l’épuisement et la mélancolie, elle ajoute une nouvelle dimen- sion, une valse avec la vie pour ce disque, marquant un nouveau chapitre. Un texte coécrit avec Zaza Fournier. Amitié, sororité. Gatica explore la puissance des âmes sensibles, refusant de durcir son cœur, réclamant son droit aux émotions et à la mélancolie. Elle aspire à vivre intensément.
Son premier album, dévoilé au moment où le Chili et une partie de l’Amérique du Sud se soulèvent, propose des chansons ensoleillées, mêlant le charango, le cuatro vénézuélien, en espagnol et en français dont «Ayulen» est le premier single.
Comme son pays, aux facettes multiples, glacées, arides et embrasées, elle connaît les tourments mais se relève toujours, telles ces femmes chiliennes dansant seules, gardiennes de la mémoire qui rendent hommage aux disparus. Une pulsion de vie, de musique et de chants.
Elle chante la solidarité, façonnant avec Alex Finkin l’album (Aloe Blacc, Roseaux), des mélodies de vie, portées par la poésie. Elle n’enseigne pas, elle virevolte, pre- nant soin des émotions, invitant dans la chaleur de sa tendresse. Gatica prend la plume pour se réinventer. Terra Mater, partage les battements des cœurs, sur les percussions de Clara Noll et les mélodies du violoncelle de Lola Malique. La vie, les choses éphémères, la mélancolie, tout peut évoluer. Altamar navigue vers l’in- connu sur des flots tumultueux, brise les cycles connus pour embrasser l’inconnu, en haute mer. Altamar dévoile un monde, profond et serein, enveloppant son être d’une nouvelle plénitude.